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RADICALE ECOLOGIE DU XXI éme SIECLE
26 avril 2022

Pommes de terre contre gratte-ciel À propos d’écologie

ATLAS_DE_L4_URANIUM_2022

Pommes de terre contre gratte-ciel 
À propos d’écologie 

Épisode 06 : La fin du monde n’aura pas lieu 


« L’apocalypse dont on vous parle n’est pas la vraie. » 

Armand Robin, Poèmes indésirables, 1943-1944 

Le catastrophisme a le vent en poupe, teinté parfois de marxisme comme on l’a vu au 
chapitre précédent : un monde en voie d’effondrement nous emporte avec lui, il est urgent 
d’agir... ou peut-être pas, s’il est déjà trop tard. Mais de quel effondrement s'agit-il ? 

1 / EFFONDRÉ 

L’effondrement est une image frappante : quelque chose ou quelqu’un s’écroule. Mais le 
dépérissement ou la disparition des sociétés est moins un choc ou un éclatement qu’un 
déclin généralement accompagné d’une transformation sur une longue durée, souvent 
plusieurs siècles, et il est rare que la décomposition se soit pas aussi recomposition. 

« Ce n’est pas parce que les « ressources » se raréfient et que (presque) toutes les 
activités vont se relocaliser radicalement, que les structures organisatrices actuelles de 
nos sociétés vont disparaître, que le productivisme va s’arrêter. Il y a à ce propos un 
défaut important dans la présentation du « pic » (qui est plutôt un plateau) de 
production des énergies fossiles. Il est sous-entendu, et parfois présenté de manière 
explicite, que la raréfaction de ces énergies provoquerait l’effondrement du capitalisme. 
La raréfaction ne provoque pas la fin de rapports de production (au contraire). Le 
productivisme ira jusqu’au bout, jusqu’à la dernière goutte, si on le laisse faire. Il n’y 
[aura] pas de fin du capitalisme mécanique [...], il y aura « juste » une réallocation des « 
ressources » disponibles [...] et une intensité accrue dans les rapports d’exploitation et 
dans l’extraction de matière. [...] L’électricité ne va pas disparaître, les coupures se feront 
sporadiquement. Internet ne s’effondrera pas du jour au lendemain, une partie de la 
population s’en verra déconnectée avec des accès de plus en plus impayables. » (Jérémie 
Cravatte) 
L’industrie nucléaire trouvera quelque pays pauvre pour servir de dépotoir à ses déchets 
toxiques. Les 3.800 morts de Bhopal en 1984 n’ont pas mis fin à l’industrie chimique 
indienne ni à Union Carbide. Des espèces peuvent disparaître et la mer d’Aral s’assécher 
sans que cessent de tourner la Terre ni le capital, qui n’a pas épuisé ses capacités 
régénératrices. Il semble que, comme l’écrivait il y a quarante ans Pierre Souyri 
« l’existence du capitalisme n’a d’autres limites que l’accomplissement des révolutions. » 
Pour le moment, les forces réformatrices de type Green New Deal restent très minoritaires, 
mais les classes dominantes ne manquent pas de moyens pour pallier les effets du 
réchauffement, par les méthodes les plus « barbares » s’il le faut. Le XXe siècle nous a 
réservé des surprises, nazisme et stalinisme étant seulement les plus remarquées. 
D’ailleurs, catastrophe pour qui ? Le 1 % privilégié s’en sortira : enclaves résidentielles 



« sécurisées » avec ses propres services publics (police privée incluse), ses générateurs de 
secours, ses portes anti-inondations... Le climat n’est pas « le grand égalisateur ». De plus, 
il faut se rendre compte que les prédictions des collapsologues n'ont un aspect 
catastrophique, apocalyptique, que pour les habitants des régions les plus « modernes » 
d'un point de vue capitaliste : plus de quatre humains sur cinq subissent déjà 
fréquemment une « sobriété » forcée et peu heureuse... En cas d'« effondrement » ou de 
changement climatique majeur, le plus probable est une forte dégradation des conditions 
de vie de la plus grande partie des populations, sans anéantissement de l’espèce humaine. 

2 / PENSER PAR SYSTÈME 

La collapsologie se veut nouvelle science interdisciplinaire, synthèse de toutes les autres, 
humaines, naturelles, de la vie... une pensée authentiquement systémique. 
C’est sans doute Joseph Tainter, par sa démarche systématiquement systémique, qui en 
illustre le mieux les limites, dans son livre pionnier, L'Effondrement des sociétés 
complexes, publié en 1988, traduit en français en 2013 grâce à la mode effondrementiste. 
De l’étude des Romains, des Mayas et des Chacoans (de culture anasazi, au nord-ouest du 
Nouveau Mexique actuel), il conclut qu’une société risque le déséquilibre lorsqu’une de ses 
composantes fondamentales se développe excessivement au détriment des autres. Mais en 
fait, pour lui, la cause première de déséquilibre serait une baisse de la productivité, 
entraînant une production alimentaire insuffisante, donc une rupture de l’unité sociale, 
d’où perte de dynamisme, désagrégation, invasion... 
Au fond, Tainter assimile la société à une machine assurant une fonction, mais qui serait 
condamnée à se détraquer. Avec un vocabulaire nouveau, cette « pensée complexe » 
renoue avec l’opposition ancienne entre ressources et besoins, entre production et 
consommation, thèse exposée il y a deux siècles par Ricardo (les rendements décroissants 
de la terre et du capital) ou Malthus (la surpopulation excédant la production). En termes 
savants et avec profusion de chiffres, Tainter nous fait savoir que la complexité sociopolitique 
permet tout d'abord de régler les problèmes de la société mais, qu’avec le temps, 
elle a tendance à s'accroître, à devenir de plus en plus coûteuse et de moins en moins 
efficace : les grands systèmes comme l'empire romain perdant peu à peu l’énergie 
nécessaire à leur perpétuation, l’écroulement devient inévitable, suivi ou non d’une 
refondation. 
Appliquant ce modèle au monde contemporain, Tainter établissait en 1988 un diagnostic 
pessimiste sans envisager de cure, car cette fois, pensait-il, le rendement négatif (à tous 
points de vue) ne peut être rattrapé, d’autant qu’à la différence de la Rome antique nous 
vivons dans une société mondiale, donc l’effondrement sera général, et l’auteur n’avait 
guère d’espoir en une « décroissance économique » : 
« A l’heure où j’écris ce livre [1988], il est difficile de savoir si le monde industriel a déjà 
atteint le point où le rendement marginal de son modèle d’investissement a commencé à 
décliner. L’histoire récente montre que nous avons atteint des rendements décroissants 
pour notre dépendance vis-à-vis des combustibles fossiles et pour quelques matières 
premières. [...] Nous ne disposons pas de l’option de retourner à un niveau économique 
plus faible, du moins pas en tant qu’option rationnelle. La concurrence entre régimes 
complexes conduit à plus de complexité et de consommation de ressources, peu importe 
les coûts, humains ou écologiques. L’effondrement, si et quand il arrivera à nouveau, sera 
cette fois mondial. » 
L’histoire nous est ici expliquée par la disproportion entre besoin et disponibilité, la 
création de richesses étant rendue impossible par ses propres conditions de production : 
plus on investit, moins on a de croissance. Comme Rome autrefois, mais avec la puissance 
destructrice de l’industrie et de l’énergie fossile. La pensée systémique de Tainter réécrit 
l’évidence bourgeoise de tous les temps et tous les gouvernements : « On ne peut pas 
dépenser plus d’argent que l’on en a », sauf qu’« argent » est remplacé par « ressources 
naturelles » (gérer en « bon père de famille », ironisait Bordiga en 1954). 



Pouvons-nous échapper à ce que Tainter présente comme ce qui a tous les traits d’une « loi 
historique » fatale ? Non, car le systémiste est souvent un pessimiste : une fois encore, le 
« système » a été le plus fort, resterait à y vivre le moins mal possible, en essayant de nous 
adapter à ce que nous avons fait mais sommes incapables de défaire. 

3 / PHYSIQUE SOCIALE 

Le plus grave chez les collapsologues, ce ne sont pas les erreurs de prospective qui leur sont 
souvent reprochées : en plus d’un domaine, leurs prévisions ont malheureusement des 
chances d’être confirmées. Le problème est dans la démarche. 
Le XIXe siècle avait inventé une physique sociale, qui étudierait les organisations humaines 
et les relations sociales et établiraient des lois de l’histoire avec la même objectivité que 
l’astronome étudiant les astres ou le biologiste les insectes. En particulier, Saint-Simon 
(1760-1825) proposait sa physiologie sociale, partie d’une physiologie générale étudiant le 
fonctionnement des collectivités. Mais c’est Auguste Comte qui appelle sociologie la 
physique sociale définie ainsi : 
« la science qui a pour objet propre l'étude des phénomènes sociaux, considérés dans le 
même esprit que les phénomènes astronomiques, physiques, chimiques et physiologiques, 
c'est-à-dire assujettis à des lois naturelles invariables, dont la découverte est le but 
spécial de ses recherches. »(Opuscules de philosophie sociale, 1819-1826) 
Auguste Comte prophétisait une ère nouvelle de progrès historique apporté par la science. 
Les collapsologues du XXIe siècle, qui croient la catastrophe imminente, cherchent eux 
aussi les « lois naturelles » des « phénomènes sociaux » et leur méthode est proche d’une 
physique sociale. 
La collapsologie regarde le monde comme un véhicule dont elle démonte le moteur (l’ère 
de l’automation et du numérique obligeant à l’emploi de modèles mathématiques raffinés 
inconnus d’Auguste Comte). Ses analyses ont un certain mérite, notamment de réunir une 
grande variété de données, mais le défaut rédhibitoire de glisser constamment des sciences 
naturelles aux sciences sociales, mêlant indices boursiers, degrés de température, prix de 
l’essence et taux d’extinction comme s’ils se déterminaient les uns les autres. 
Or, le capitalisme ne s’est pas formé, ni ne fonctionne comme une machine. On n’est pas 
passé au charbon, puis au pétrole, ensuite au nucléaire selon les critères d’un meilleur 
rendement énergétique. Les ingénieurs sont au service des bourgeois. Les calculs de 
productivité appliqués à l’énergie (le « mur thermodynamique ») expliquent très peu les 
flux et reflux de capitaux. 
Croyant prendre en compte autant l’humain que le naturel, le catastrophisme amalgame 
les deux et naturalise les rapports sociaux. On ne peut parler sérieusement de « la « vie » 
d’une société, si l’on oublie qu’il s'agit d'une image, et qu’une société ne naît, n’évolue, ni 
ne meurt comme une rose ou un chat. 
À tout mêler ainsi, on confond l’irréversible et le réversible. Comme le remarque J. 
Cravatte, il y a « des changements irréversibles – qu’on ne peut, en effet, que tenter de 
limiter et préparer (comme la destruction de la biodiversité et l’emballement 
climatique) » et « des changements totalement réversibles (comme la montée des 
fascismes, le transhumanisme ou la financiarisation du monde). » 

4 / RÉSILIENCE 

Les collapsologues pronostiquent un bouleversement inéluctable, et tout ce que nous y 
pourrions faire aujourd’hui, c’est nous préparer à ce qui nous attend demain : la mort, la 
barbarie, ou, à condition de le vouloir et d’en être capable, une vie obligatoirement 
raisonnable, à taille humaine. Et ils ne manquent pas d'idées et de programmes à mettre 
en oeuvre en attendant : petite production, petit commerce, petite consommation, 
coopérative, vie locale, c’est-à-dire un retour – forcé mais bénéfique pour nous comme 
pour la nature – à un âge préindustriel, quoique certainement encore un peu « connecté ». 



Pas de voiture, mais des ordinateurs. Julien Wosnitza, collapsologue, 24 ans préconise de 
« [...] faire dans le zéro déchet et le recyclage local, [...] essayer de faire le moins de mal 
possible à la vie et aux animaux autour de soi, de préserver l’échelon du local, [...] 
cultiver ses légumes, [...] préparer une communauté de compétences diverses, 
indépendantes, interdépendantes, et résilientes. Et surtout, surtout, on n’oublie pas de 
s’aimer. »(Pourquoi tout va s’effondrer, Les Liens qui libèrent, 2018) 
Et, pour le moment, organiser une société parallèle (mais non antagonique à la société 
dominante), faite d’éco-villages et d’« ateliers de travail qui relie », membres d’« un 
immense corps vivant dont nous faisons partie » situé « déjà dans le monde d’après ». 
Julien n’est pas le seul à nous inviter à la « résilience ». Mot à la mode depuis quelques 
années, qui donne l’impression de faire du neuf, et dont on oublie l’origine : employé en 
physique, il est devenu d’usage courant en psychologie et en psychiatrie, qui l’utilisent 
pour des personnes ayant subi un grave traumatisme : déportés survivants, enfants de la 
rue, orphelins, grands malades... : des catégories victimes, vulnérables, hors d’état d’agir 
sur la cause du traumatisme puisqu’il a déjà eu lieu, seulement sur ses effets, et ayant 
besoin de spécialistes pour le surmonter. Cette notion n’a donc rien de neutre quand elle 
est appliquée à des individus, des groupes ou des populations, ainsi vouées à un rôle passif. 
Dès maintenant, de petites communautés « résilientes » habitueraient à mieux supporter 
ce que nous serions incapables d’empêcher. 
Avant, on nous sommait d’obéir à une tradition garantie par un passé millénaire. 
Maintenant, c’est à un avenir déjà présent que nous devrions nous soumettre. 
Avant, on moquait l’irréalisme consistant à croire possible la révolution et donc à rejeter la 
réforme. Maintenant, on décrit le monde comme inréformable. Comparée aux partis 
politiques (Verts compris) qui s’affirment capables d’éviter une catastrophe, l’ambition 
collapsologique est mince : nous accommoder à l’inévitable, du moins pour ceux qui 
survivront. 

5 / APOCALYPSE HEUREUSE 

Tout autant que nouvelle transdiscipline scientifique, la collapsologie se veut démarche 
« spirituelle ». New Age de la mort d’un monde, religion sans dieu, elle n’annonce rien 
moins qu’une apocalypse. Dans son sens grec, il s’agit d’une révélation. L’Apocalypse de 
Jean dit une fin des temps : « Il y eut de la grêle et du feu mêlés de sang, qui furent jetés 
sur la terre, et le tiers de la terre brûla, le tiers des arbres brûlèrent, toute l’herbe verte 
brûla. » (chapitre 8, § 7). Mais cet achèvement inaugure un autre monde : « Alors j’ai vu 
un ciel nouveau et une terre nouvelle, car le premier ciel et la première terre s’en étaient 
allés et, de mer, il n’y en a plus. Et la Ville sainte, la Jérusalem nouvelle, je l’ai vue qui 
descendait du ciel [...] » (chapitre 21, § 1 et 2) 
Dans le texte attribué à « l’apôtre Jean », la mort du monde valait résurrection. Les 
collapsologues seraient plutôt dans la ligne des prophètes d’Israël promettant des 
malheurs au peuple juif s'il désobéissait. 
Qu’elle s’inscrive dans la filiation de l’Ancien ou du Nouveau Testament, la collapsologie 
tient d’une vision religieuse : pour s’être abandonnée à l’hypertrophie technologique aux 
dépens de la nature, l’espèce humaine doit expier son péché. Si l’hubris désigne une 
conduite humaine considérée par les dieux comme démesure, l’humanité mérite d’être 
punie pour n’avoir pas su faire preuve de modération. 
Faute originelle d’un homme victime consentante de son extravagance (vouloir tout 
connaître et croire pouvoir tout faire), chute, départ du jardin d’Eden (qu’il s’agit de 
retrouver, la décomposition de la civilisation industrielle forçant à une vie simple proche 
de la nature), fin du monde, rédemption, régénération par la catastrophe (salutaire, donc), 
création de communautés « de l’attente » avant le jour du Jugement pour des fautes 
écologiques qui sont en réalité des fautes d’orgueil... on est en plein dans le Do It Yourself 
religieux typique de notre temps. 



6 / (SE) FAIRE PEUR 

Un livre récent décrit La Terre inhabitable, où il nous faudrait très bientôt « vivre avec 
4°C de plus ». Trop sombre et exagérément pessimiste pour les uns, réaliste et salutaire 
pour d’autres, en tout cas c’est un best-seller. David Wallace-Wells revendique son 
alarmisme : mieux vaut trop faire peur au public que pas assez. Bonne conseillère, la peur 
permettrait de poser une urgence devant laquelle tout devient secondaire. 
Or, le spectacle de la crise et les scénarios catastrophiques renforcent l'impression 
d'impuissance. Ce que nous regardons se déroule hors de nous, frappe et échappe ; nous en 
sommes victimes, et les victimes subissent, se résignent ou réclament un protecteur. Plus 
on parle « du climat », moins on agit, sauf pour exiger que ceux qui ont le pouvoir agissent. 
Face à l'inéluctable, nous continuons à nous en remettre à d’autres, et nous nous 
confirmons dans l’incapacité à agir sur nos vies. La peur est une grande inhibitrice. 
D’ailleurs, si le critère est la capacité de l’humanité de s’autodétruire, l’espèce humaine 
n’aurait dû cesser de trembler depuis le 16 juillet 1945, date de la première destruction 
atomique. Gunther Anders tirait un trait entre Auschwitz, Hiroshima et une modernité 
industrielle mortifère, pour lui manifestations d’une « obsolescence de l’homme » en voie 
d’avènement, voire déjà advenue. 
Esthétiquement, la croyance en une fin du monde est source d’émotion, comme celle que 
l'on peut éprouver au château d'Angers en contemplant la Tenture de l’Apocalypse réalisée 
à la fin du XIVe siècle. Politiquement, le millénarisme de Thomas Münzer et de la Guerre 
des Paysans tentait de bouleverser l’ordre social pour accomplir ici-bas un paradis 
terrestre. Les apocalyptiques du XXIe siècle n’ambitionnent que de nous éviter un enfer. 

G.D., mars 2021 

LECTURES 

Joseph Tainter, L’Effondrement des sociétés complexes, Ed. Le Retour aux sources, 2013. 

Human Resource Use: Timing and Implications for Sustainability, 2009. 

Pablo Servigne, Raphaël Stevens, Comment tout peut s’effondrer, Seuil, 2015. 

Très bonne critique de la collapsologie : Jérémie Cravatte, L’Effondrement, parlons-en... 
Les limites de la collapsologie. Bibliographie, glossaire détaillé. (disponible sur 
barricade.be). 

David Wallace-Wells, La Terre inhabitable. Vivre avec 4°C de plus, Robert Laffont, 2019. 

Sur la religion en notre temps : Le présent d’une illusion, 2006 : 
https://troploin.fr/node/39 

Collectif, Apocalypse : La Tenture de Louis d’Anjou, Editions du Patrimoine, 2015. 
Apocalypse
Sur le millénarisme : Guy Debord, La Société du Spectacle, 1967, thèse 138. 

Et Yves Delhoysie & Georges Lapierre, L’Incendie millénariste, Os Cangacieros, 1987. 

Article initialement publié sur le blog ddt21.noblogs.org 



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